Du référencement naturel ? Oui, mais pourquoi ?

Par ce titre légèrement surprenant, il y a un point sur lequel je souhaite revenir : la raison qui m’a poussé à faire ce métier.

Nous sommes le 27 juillet, c’est l’été au Québec, il fait grand soleil et la température oscille entre 26 et 40°C (oui, vous avez bien lu, qui a dit qu’il faisait froid au Canada ?). De plus, en ce moment, à part quelques conversations sur l’arrivée éventuelle de Panda en France ou encore des petites mises à jour du Webmaster Tools, il n’y a pas grand chose à se mettre sous la dent niveau seo et… C’est tant mieux ! Il faut savoir faire un break et j’en profite pour écrire ce post et vous raconter une petite histoire (après tout, il s’agit d’un blog).

Tout remonte à ma première année des master. J’ai étudié à l’Hétic, école multimédia en région parisienne et je suis arrivé là-bas en 2004. J’ai appris beaucoup de choses dans cet établissement, notamment de la gestion de projet pure et dure, de l’intégration, du design et même un peu de développement…

Cependant, dès qu’un projet se terminait et passait en ligne, il y avait toujours une interrogation qui revenait : “est-ce que je trouve mon site sur Google ?” Le référencement naturel était un sujet encore peu abordé à cette époque et un jour, un intervenant est venu nous en parler.

Histoire de ne pas créer de suspens supplémentaire, je vous annonce tout de suite que cet intervenant était extrêmement mauvais (pas de bol pour moi car les autres intervenants étaient très bons). Il présentait mal, nous a fait un cours sur le “seo” basique, théorique et je sentais une inquiétude à communiquer de l’information. Pour faire simple, à l’issue des interventions, on était supposés savoir faire du seo en faisant des URL réécrites, mettre des title et meta descriptions dynamiques et en remplissant correctement les balises h1, h2, h3, etc… Génial, hein ?

Bref, la seule impression qu’il m’a laissé est qu’il ne souhaitait pas communiquer sur son métier, par peur de nous transmettre ses secrets. Car oui, ne l’oublions pas, il y a 7 ans, le seo était une science obscure et il ne fallait surtout pas communiquer le moindre indice sur le comment du pourquoi !

Puis, plus le temps passait, plus j’étais blasé de ne jamais trouver mes sites web dans Google, notamment sur les mots-clés qui définissaient clairement leur activité (ressortir sur son nom de domaine, ça va 5 minutes mais on souhaite davantage). Il pouvait s’agit de mots-clés concurrentiels mais aussi d’expression spécifiques. En clair, j’avais appris à faire des sites web, on travaillait en équipe, on faisait du code propre, un design user-friendly, et pourtant, notre belle vitrine technologique était introuvable sur le moteur de recherche.

En parallèle, je repensais souvent à cet intervenant et son cours misérable qui ne m’avait rien appris, hormis le fait que le métier de SEO semblait être tapis dans l’ombre. Et quelque part, ça m’attirait de plus en plus. Puis, à un moment, il y a eu un déclic : à quoi ça sert de faire une belle vitrine web si celle-ci est invisible aux yeux du consommateurs ?

Peu à peu, j’ai commencé à m’intéresser à cette discipline. Mes deux plus grandes sources au début étaient SearchEngineWatch et le forum Cre8asiteForum (je remercie d’ailleurs les différents membres qui ont été très disponibles lors de mes nombreuses interrogations). C’est à ce moment-là que j’ai commencé à me plonger dans les méandres du référencement naturel et j’ai trouvé ça passionnant.

Avoir une bonne visibilité dans les moteurs transformait un site du tout au tout et tout cela, à travers des expériences mélangeant différentes expertises : la rédaction, le marketing, l’intégration et un peu de développement. Il fallait s’y connaître dans différents domaines du web et cela m’a clairement motivé, car on évitait alors de tomber dans une tâche redondante. Le fait d’avoir fait de l’intégration auparavant et même du PHP m’a clairement aidé dans l’apprentissage. Savoir bien écrire le français sans faire de fautes est également un gros “plus” :)… Bref, il y avait de quoi faire (et c’est toujours le cas !).

Puis, finalement, j’ai réussi à trouver un stage dans une agence de référencement parisienne et j’ai pu apprendre en accéléré une partie de mon expertise actuel… Après, c’est le temps, la curiosité et les expériences qui ont fait le reste. Comme tout bon référenceur qui se respecte, j’ai également réussi à blacklister un site (bah oui, on pousse bien mémé dans les orties une fois et pépé Google nous file une claque)… Mais c’est normal, cette claque il faut se la prendre et j’espère que ça a été le cas pour tous les référenceurs ou presque.

Il faut pouvoir tester les limites seo en pratique et non s’en tenir au théorie.

Aujourd’hui, en 2011, le référencement s’est quand même un peu plus développé et c’est maintenant devenu un métier officiel qui a fait ses preuves. Malheureusement, si beaucoup de personnes prétendent être référenceurs, on trouve aussi énormément de charlatans sur le marché, ce qui procure une frustration de la part de certains chefs d’entreprises qui ont investi des sous dedans. Bien qu’un peu vieux, vous pouvez toujours lire mon article sur “Comment reconnaître une mauvaise agence de référencement“.

On ne naît pas référenceur et on ne devient pas référenceur en lisant la documentation de Google. Une personne qui n’a jamais touché du code HTML, Javascript ou PHP ne peut prétendre être référenceur naturel.

Bref, ce post est un peu en décalage par rapport à ce que j’écris d’habitude mais j’avais envie de m’exprimer sur le pourquoi du sujet. Et maintenant, j’aimerais demander à mes lecteurs/lectrices référenceurs/référenceuses qu’est-ce qui les a poussé à faire ce métier ? A vous la parole ! :)

19 réflexions au sujet de “Du référencement naturel ? Oui, mais pourquoi ?”

  1. S’il y a 7 ans on te parlait d’url réécrite, de h1, h2 et title et meta description dynamique c’est surtout parce qu’à l’époque ça suffisait encore pour bien positionner un site sur un secteur pas trop concurrentiel.
    Evidement s’il ne vous a pas montré miva (ah miva…) et d’autres outils de recherche de mots clé ainsi que les moyens les plus simples de faire du lien, il a zappé 2/3 du cours.

    Personnellement j’ai eu un peu le même parcours, un prof en licence qui nous a expliqué la formule du PR puis un super stage en ref – etude de stats.
    Ensuite ce qui m’a poussé à rester dedans est la communauté de référenceur qui est vraiment sympa.

    Bon article de vacances et design sympa au fait :)

  2. J’ai débuté en 2004 mais suis devenu sérieux en 2007, après avoir bûché jour et nuit, alors être référenceur pro c’est d’abord beaucoup de boulot et d’études annexes, de savoirs faire et savoirs tout courts à développer. ensuite, chaque journée se divise en un jour de mise en application auprès de clients et le reste de la journée, on rentre dans son laboratoire personnel pour continuer ses recherches et mettre en œuvre des techniques ou stratégies sous forme de test

    Le référencement ont y arrive par le travail on y reste pour la passion d’un métier à part.

    Il m’a personnellement offert la liberté qu’aucun autre job n’a pu m’offrir ; travailler avec des clients de toute la France, dans les îles, à l’international en se trouvant soit même à Paris, Pointe à Pitre, Marrakech ou Rome

    Ce qui m’a poussé à m’intéresser au référencement ?
    La demande client, déjà en 2004, créer juste un site web n’avais plus vraiment de sens

  3. C’est en développant un site de petites annonces que j’ai été confronté au référencement.
    Et oui, j’ai rempli la balise meta kewords!J’avais même payé 200 € pour être dans le Guide de Voila.
    Le métier a évolué coté référenceur, la communauté aussi malheureusement (en France) il y a un retard de prise conscience des entreprises.
    Les référenceurs vont réellement être reconnu très bientôt…

  4. Au vue de ton article et de mon expérience, je pense que l’on peut diviser la catégorie de référenceur en 2 parties, l’une allant quelque fois avec l’autre (ce qui semble ton cas) mais pas obligatoirement. Il y a le profil technique (qui touche le html, le javascript, les langages de programmation) et le profil éditorial (qui aura les connaissances techniques mais pas forcement la pratique). A mon sens, ces 2 profils tendent de plus en plus à se clarifier avec l’importance grandissante du contenu.

    Il y a 7 ans, on travaillait sur du contenu caché avec des pages fantôme et autre stratagème. On n’avait pas les problématiques qu’aujourd’hui, à savoir comment avoir un contenu frais, mis à jour régulièrement qui peut interesser potentiellement les internautes et donc créer du linkbaiting.

  5. Je rejoins Vincent pour dire qu’il y a quelques années encore, le nerf de la guerre, c’était les optimisations on-site.

    De nos jours encore, la plupart des agences se contentent de réaliser des audits techniques pour régler les problèmes on-sites. Cela n’a rien de scandaleux à mon sens, car le référencement aujourd’hui, au delà de l’on-site, c’est les liens, et comme le disait Paul Sanchez sur le SEO Campus, “les agences ne savent pas générer des liens”.

    C’est simple, pour générer des liens en quantité, il faut passer du côté black-hat.

    Or, je ne suis pas certain qu’un groupe côté en bourse et qui emploie des gens soit suffisamment fou pour se lancer là dedans.

    Restent donc les forums, Facebook et compagnie, l’achat de liens, mais c’est à peu près tout pour rester “clean”.

    Le reste, ça va si tu vivotes en indépendant de petits sites sur des thématiques Forex, Poker and co, mais dans le vrai mon de l’entreprise, c’est impossible à mettre en pratique.

    Quant à ton parti pris “Une personne qui n’a jamais touché du code HTML, Javascript ou PHP ne peut prétendre être référenceur naturel”, je ne suis tout simplement pas d’accord. La majorité des référenceurs ne sont pas des techniciens. Et c’est d’ailleurs sain de séparer le marketing de la technique. Je doute qu’Amazon te laisserait la main sur son code source pour “optimiser le référencement”. Et on revient à l’audit technique…

    Voilà mon avis :-)

    Sinon, pour en revenir au sujet premier du billet, je suis quant à moi arrivé dans le référencement assez naturellement. Après un parcours marketing bac +5 je suis rentré en agence, j’ai aujourd’hui un profil webmarketing assez complet. Etant passionné par internet et les nouvelles technologies depuis toujours, je ne pouvais rêver mieux !

  6. Sympa de lire cet article.

    Pour mon cas, j’ai une formation en dessin industriel donc rien à voir avec le monde de la programmation, du référencement ou du marketing. Par contre, j’ai toujours était passionné par l’informatique et le web. Un beau matin, je me suis lancé et j’ai fait ma première page web avec Word et que j’ai mis en ligne sur mon espace perso du site Voila.

    J’ai galéré pendant plus de 2 ans à faire vivre 2 sites qui n’étaient jamais visités, mais j’étais fier de les avoir fait. Pour avoir quelques visiteurs, j’ai commencé à participer à des dizaines de forums pour y mettre les liens de mes 2 sites (mon record d’audience a été de 70 Vu dans une journée).

    Un jour, je suis tombé sur un forum (pour y mettre mes liens) qui parlait de référencement dans les moteurs de recherche. C’est ce jour là que ma passion du référencement est née. J’ai appris qu’il existait des Meta Description, Keyword … etc. Via ce forum, j’ai aussi découvert le language HTML, PHP ..etc. et qu’il y avait des logiciels permettant de faire des sites … comme Dreamweaver.
    J’ai passé 1 an à économiser pour acheter Dreamweaver. Pendant cette année, je me suis lancé dans l’écriture d’articles qui m’ont permis d’alimenter mon 1er site sous DW et en utilisant les techniques de référencement de l’époque. 1 mois après le lancement du site (hébergé chez OVH avec un vrai nom de domaine), j’avais 150 vu/ journalier en provenance de google.

    6 ans ont passé depuis le lancement du site, j’ai créé une société de création de sites Web et j’ai un petit réseau de sites (financé par la pub) qui génèrent 4 millions de Vu /an.

  7. Pour ma part, j’ai découvert le search via les liens sponso.
    Mais j’ai trouvé que c’était trop facile d’être premier, il suffisait d’avoir des sous.
    Je me suis dit 2 choses ensuite: si on n’a pas de sous, on fait comment et dis donc j’aimerais bien m’occuper des résultats ou les gens cliquent le plus (le SEO et non le SEA).
    Après et toujours aujourd’hui, c’est l’excitation de regarder les chiffres de trafic de la veille :)

  8. En 2001, on m’a posé un dossier sur le coin du bureau, “essaye de regarder ca”, c’était le dossier du référencement naturel et je ne l’ai pas quitté depuis.

    Je me souviens de mon premier site, les premières optimisations, l’attente de la google dance, d’être premiere et de réaliser une semaine plus tard que je m’était plantée dans le choix des mots clés et que je n’étais pas sur une expression saisie par les internautes ^^

    Pour revenir sur ton intervenant, je rejoins Vincent en 2004 les mots clés et les descriptions … ca faisait encore des miracles sur la majorité des thématiques

  9. Le seul souci, c’est qu’on ne peut pas prétendre être référenceur en ne faisant que de l’éditorial, même si on est très bon dans ce domaine :)

  10. Pas de souci, chacun donne son avis. C’est juste que devenir référenceur sans avoir un background et des connaissances techniques risque de limiter assez vite ta liberté de mouvement et d’imagination technique.

    C’est un peu comme les personnes qui me disent qu’elles sont chefs de projets web mais qui me clament de ne rien connaître à la technique et de ne pas vouloir en savoir davantage… Pour moi, ce n’est pas normal.

  11. Ahah, ca me rappelle des souvenirs tout ça, avec mes débuts de galère avec une simple page html à faire indexer…

    Ta phrase à la fin de l’article est tout simplement excellente et je suis 100% d’accord avec toi : une personne qui ne maîtrise pas l’html (ne serait-ce que ça) ne peut être un vrai référenceur. Il pourra toujours réussi certains aspects du métier (liens, contenus) mais jamais il n’atteindra le potentiel maximum de son travail…

  12. J’ai débuté en 2003, et j’avoue qu’au départ je ne connaissais rien du tout au SEO – j’avais potassé rapidement quelques pages d’un bouquin d’Olivier Andrieux avant mon entretien d’embauche chez 1ere Position (dans le train entre Chambé et Lyon) – J’ai été formé sur le tas. Finalement je pense que ton prof etait pas si mauvais car mis a part effectivement certains outils/régies/moteurs que les plus jeunes ne connaissent meme pas les techniques données fonctionnaient tres bien – Aaaah les fameuse page sat!, il est loin le temps ou il suffisait de faire un peu de keyword stuffing sur une URL bien propres pour se positionner 1er.

    Maintenant je pense que tu as tort su un aspect de ton article – Un jour dans une conf’ le boss de CVFM je crois (je suis plus sur c’est il y a longtemps) a dit “dans le monde du SEO il y a les “scientifique” comme nous (enfin comme lui) et les poetes” – sous entendu les scientifiques ils déchirent et les poetes c’est de nazes. Et bien moi je suis un référenceur poete, je code un peu bien entendu mais je code tres tres tres tres mal et je béni l’inventeur du CMS. Pourtant crois moi je suis pas Tiger mais j’envoie les pieds en SEO – je pense que tu devrais un peu plus te fier a la notion d’instinct décrite dans un des derniers articles de LaurentB – http://www.laurentbourrelly.com/blog/975.php

  13. @Davidseo@all4search

    Je suis pas entièrement d’accord sur cette notion qu’il suffit de payer pour être en premier en liens sponso. Le deal, c’est payé le moins cher possible pour être en premier. Et, ca, tu es certainement bien placé pour le savoir, c’est tout un art !

  14. Un article qui m’a interpelé, puisque me ramenant à plus dizaine d’années de mes débuts. Pour ma part, j’ai commencé en 1997 en faisant de la création de site en code html. Les CMS et autres facilités n’existaient pas encore ! On alignait que les codes.
    Et quand est arrivé le PHP et le javascript, c’était super et amusant de savoir tout ce qu’on pouvait faire avec.
    Le référencement est venu logiquement par la suite… et j’y suis encore.
    Je suis entièrement d’accord avec toi Ramenos quand tu dis qu’il faut savoir lire et écrire du code pour prétendre être un référenceur internet. C’est vraiment important pour une optimisation de référencement.
    Très bon article !

  15. J’ai commencé il y a quelques années lors d’un stage qui devait être axé seo et webmastering.

    La DG de la boite m’a alors présentée un livre sur le référencement, et j’ai commencé à le potasser. A l’époque je faisais les bêtises du débutant (un max d’inscriptions dans les annuaires etc etc). Bref, tout le monde débute… :-)

    J’ai commencé à m’y intéresser davantage puisque j’avais récupérer quelques mois auparavant un vieux sites statiques, que j’ai completement refait via un CMS pour rendre les MAJ plus faciles. Après avoir refait le site, sans penser au référencement j’ai vu qu’il avait chuté dans Google, et donc je me demandais vraiment comment le faire remonter…. le stage m’a permit de découvrir le monde du référencement, et donc de travailler pour mon site en tant que boite de tests.

    Voili voilou :-)

  16. Le truc, c’est qu’à mon sens, il est nécessaire d’être scientifique et poète pour pouvoir faire un bon référenceur. Poète, comme tu le dis, pour voir inventer des solutions et scientifiques pour savoir comment les mettre en place et accompagner l’équipe de scientifiques qui travaillent dessus.

    Je peux comprendre que mon avis n’est pas partagé par tous, mais dans la pratique, j’ai vu bien trop de référenceur uniquement poètes auxquels il manquait quelque chose pour être référenceur web :).

    Même si tu codes mal, tu fais quand même l’effort de plonger les mains dans le camboui et c’est ce qui fait la différence. Après, plus tu les plongeras, plus tu pourras facilement mettre tes idées en oeuvres. Mais un référenceur qui me dit “je suis expert webmarketing référencement et je ne connais rien à la technique”, pour ma part, je ne risque pas de l’embaucher car il va lui manquer un background web et technique important.

  17. Salut !
    J’ai adoré ton article (et d’autres que tu as écrit), je trouve ta vision assez juste.
    Au même titre que toi, j’ai connu le métier de référenceur assez tard, mais j’ai tout de suite accroché en revanche. J’ai même écrit un mémoire à ce sujet et un livre est en cours de rédaction.

    Ce qui m’a frustré, et je vois que je ne suis pas le seul, c’est que les intervenants et formateurs que j’ai côtoyé disent tous les mêmes choses, mais au final ne disent rien. En gros, ils nous rabâchent les mêmes trucs mais ne donnent aucun secret, voire ils oublient des principes pourtant connus de ce domaine. De ce fait, ce qui me dérange, c’est cette espèce de “non-dit” qui règne. Je compare ça un peu au métier de magicien, on peut en parler, mais il ne faut rien dévoiler…

    Je n’ai pas la prétention d’être un bon référenceur ni un bon formateur, mais une chose est certaine, j’essaie de donner mes bottes secrètes en formation pour éviter aux gens de se faire avoir par des charlatans et pour leur donner de vrais tuyaux et pas des infos creuses et inutiles.

    Merci pour ton billet donc, ça me permet de me sentir moins seul dans mon sentiment de frustration ! ^^

  18. Idem, je fais du référencement, et je commence à avoir de belles références.
    Seulement, je ne code pas une ligne de mes journées :)

    Softs + scripts que je fais développer + instinct dont parle le juge, on est d’accord que ça ne sera jamais suffisant pour se positionner sur “casino en ligne”, mais pour 90% des besoins, il y a de quoi proposer des choses très intéressantes, et qui sont loin d’être du vol.

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